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22 janvier 2010 5 22 /01 /janvier /2010 18:57

Allez hop !

Nouveau sujet de réflexion...

Il rejoint un peu beaucoup celui sur "l'oeuvre est-elle au service de l'auteur, etc."

La problématique est en fait rigoureusement la même, sauf que je vais me concentrer sur l'aspect de la technicité.


Comment comprendre ce mot?

"Technicité".

Comme "le niveau technique global en vocabulaire et en syntaxe" de l'auteur, qui lui permet de produire des phrases plus ou moins bien construites, et plus ou moins fournies lexicalement.


Est-ce qu'un niveau élevé en maîtrise de la langue fait fatalement de la personne un bon auteur?

Est-ce qu'un homme capable d'aligner 18 notes de musique à la seconde sera un "bon musicien"?

Au sens commun du terme, oui. C'est un monstre de technique. Un virtuose.

Mais est-ce que sa musique est "bonne" pour autant? Est-ce que les mélodies qu'il va écrire seront... "belles" ?

Peut-être que oui.

Peut-être que non.

ça dépendra de l'artiste.

J'ai vu des mecs aligner un nombre hallucinant de notes à la minute.

C'est très impressionnant, et le musicien que je suis est resté scotché pendant deux ou trois morceaux. Mais ensuite, une fois que l'on s'est habitué à cette ultra vitesse digitale... Il ne restait plus rien... Les morceaux n'étaient qu'une succession de notes ultra rapides. Pas de variation... pas de surprise... Il ne s'en dégageait rien... Alors qu'une simple mélodie de 5 ou 6 notes peut vous prendre aux tripes, là, cette démonstration technique a fini par profondément m'ennuyer.


Est-ce la même chose?

Un auteur qui fait des super phrases avec 5 subordonnées imbriquées les unes dans les autres et un vocabulaire extrêmement recherché sera-t-il un "bon auteur"?

Un bon technicien de la langue, sans aucun doute...

Mais qu'est-ce qui se dégagera de son livre?

Comme pour les musiciens, c'est variable selon les livres et les auteurs, je vous l'accorde bien volontiers...


...


La monotonie...

La répétition d'un unique schéma narratif.

La répétition de ce que tout le monde a déjà vu, lu, écrit...

Tout ça, ça me saoule.


Je pense que, comme en musique, ce sont les "notes justes", ou les "mots justes" qui vont prendre aux tripes le lecteur, pas l'extrême complexité et la technicité de la construction des textes.


Pour l'anecdote...

Je m'étais imposé, dans l'Armant, une contrainte stylistique dans l'un des derniers textes. J'ai raconté ce que j'avais à dire en respectant la contrainte que je m'étais fixée. L'action, pourtant très importante, ne comportait aucune profondeur, et aucune pression ne s'exerçait sur le lecteur. J'ai donc supprimé ce texte, et j'ai tout refait en oubliant les contraintes. Je l'ai coupé en dix petits textes, et j'ai complètement changé ma façon de narrer les faits.

Là, l'effet graduel de la montée en pression du lecteur était bien meilleur, et le rendu final très nettement supérieur à mon texte de base. Pourtant, au niveau technique, mon texte était bien plus simple que le précédent...


Ma question est la suivante...

Est-ce que, sous prétexte que l'on sait faire des jolies phrases bien comme il faut, on est obligé d'en faire...?

Est-ce que le fait de faire des phrases "bien comme il faut" ne nous donne pas l'impression de bien écrire, d'être de "vrais auteurs", alors que, parfois, nos textes peuvent, par la faute même de cette trop grande perfection technique, devenir d'une insipidité affligeante (les miens y compris...).


"L'excès de perfection est un défaut" disait Je-ne-sais-plus-qui...

A méditer...

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6 janvier 2010 3 06 /01 /janvier /2010 23:06

Quelle part accorde-t-on à l'Oeuvre dans le processus d'écriture, que ce soit au niveau stylistique ou au niveau de la présentation des idées qui la composent?

 

Que ceux qui n'ont pas compris la première phrase de l'article lèvent le doigt...

Quoi? Tout ça? Comment ça, on n'est pas en cours de philo?

 

En gros, la question, c'est : de quelle façon prenez-vous en compte l'oeuvre que vous produisez au moment où vous la produisez?

Ce n'est pas plus clair?

Est-ce que l'Oeuvre a sa propre logique, ses propres impératifs, au niveau de sa structuration et de son style, ou est-ce que c'est vous qui faites ce que vous voulez, et l'Oeuvre, au final, c'est la  plus ou moins longue suite de mots que vous avez faite?

 

Est-ce que les chapitres ont une longueur prédéterminée par un critère qui vous est propre ? J'ai entendu récemment un auteur (amateur, mais auteur quand même, au même titre que nous tous ) me dire que ses chapitres avaient tous à peu près la même longueur pour équilibrer le tout. C'est un point de vue. Pour ma part, je trouve que les chapitres ont la taille qu'ils ont en fonction de ce que j'ai à raconter. Comme certains d'entre vous ont pu le voir dans Stophos, la longueur des textes (on ne parle pas de chapitre, là, mais c'est la même logique) peut être extrêmement variable...

 

Est-ce que tous les chapitres, toutes les pages ont des phrases de même longueur?

 

Est-ce que tous les personnages parlent de la même façon?

 

Est-ce que tous les livres que vous écrivez (pour ceux qui en ont fini au moins un ^^) ont le même style ?

La même ambiance?

Le style et l'ambiance, c'est pas la même chose, me direz-vous.

C'est vrai.

Mais, au delà de l'univers que l'on a choisi pour mettre en place nos personnages, n'est-ce pas le style d'écriture qui fait l'ambiance d'un roman?

Le choix des champs lexicaux employés?

La longueur des phrases? Leur enchaînement ? Le rythme global qui se dégage de la lecture, et donc, forcément, les ruptures que l'on s'amuse à générer dans ce rythme...

 

 

Le Style, c'est propre à chacun.

Je suis on ne peut plus d'accord.

Je vois d'ici Shinro dire que c'est totalement faux, et que beaucoup de monde a un style totalement uniformisé et terriblement insipide, que tout se ressemble... (on n'a qu'à écouter la radio 20 minutes, ou regarder une chaîne "musicale" avec des clips pour comprendre de quoi je veux parler... toujours pareil...)

Idéalisons les choses, et imaginons un instant que les gens qui liront ces quelques lignes sont des personnes d'un niveau intellectuel suffisament élevé pour avoir leur propre style bien à eux...

 

Je disais donc...

Le Style, c'est propre à chacun...

Pour autant, un auteur est-il toujours dans le même style, dans le même registre?

La même question se pose pour les musiciens.

 

Est-ce que c'est l'artiste qui est au service de l'oeuvre qu'il produit, ou est-ce que c'est l'oeuvre qui est un produit de l'artiste? Ou bien est-ce les deux à la fois?

 

Je me suis rendu compte, en écrivant Nihil, et en retravaillant sur le début de la Quête, que mes styles varient beaucoup d'une oeuvre à l'autre. Je le savais déjà, mais, là, j'en ai vraiment pris conscience.

Le début de Nihil faisait un peu Stophos sur les bords.

Pour les 10-15 premières pages, ce n'est pas gênant. On a de l'info à toutes les pages, le fait que les textes soient courts et le fait qu'ils narrent des moments différents de la vie du héros ne posent pas trop de souci.

Mais à partir du moment où l'intrigue se lance vraiment (page 15, en gros... Vous voyez? Rien à voir avec Stophos !) ce style ne va plus du tout. Du coup, j'ai dû tout retravailler. Et je n'ai pas fini! loin de là.

Ce qu'il faut, pour Nihil, c'est être au plus proche du personnage. C'est vivre sa vie. C'est le suivre...

C'est, pour moi, auteur, l'obligation de passer du temps à raconter les choses (ça m'énerve, j'aime pas les descriptions, je trouve ça long... j'ai hâte d'écrire la suite... mais c'est comme ça. Si je veux que le lecteur rentre comme je le souhaite dans mon histoire, je n'ai pas vraiment le choix... Oh! Je ne vais pas me mettre à faire des descriptions à la Zola. Je laisse toujours à chacun sa part d'imagination. )

La dimension psychologique du héros est fondamentale et primordiale, dans ce projet.

Encore plus que dans Stophos, où on voit pourtant Fausseté passer par tous les états possibles et imaginables.

Pour ce faire, je vais être obligé de trouver un nouveau style, beaucoup plus immersif. Hors de question, donc, de refaire le coup de Stophos, où l'on met des textes auxquels on ne comprend pas grand chose avant la fin du livre.

Dans Stophos, le truc, c'est de suivre un mec qui ne comprend rien à ce qui lui arrive. Je me suis donc efforcé de mettre le lecteur dans la même posture. Dans Nihil, je veux qu'il comprenne le héros, qu'il vive avec lui, qu'il puisse presque le toucher. Qu'il le plaigne. Qu'il ait envie de le gifler, qu'il le haïsse... Qu'il l'aime. Peu importe. Mais qu'il le voie vivre.

 

Certes, on retrouve dans tous mes écrits littéraires des constructions qui peuvent se ressembler.

Que ce soit dans la gestion de l'intrigue ou au niveau de la construction des paragraphes, des phrases...

(L'Armant et Stophos sont bâtis exactement de la même façon, et trois actes, ayant dans les deux cas exactement la même fonction :

Acte 1: on ne comprend rien, mais on pose l'univers.

Acte 2, on développe l'histoire.

Acte 3: résolution.)

On retrouvera toujours,quelque soit le projet sur lequel je travaille, de temps en temps, un rythme particulier dans le découpage des textes ou des paragraphes, des tournures qui me sont propres, et tout et tout. Parce que j'aime bien ces découpages-là, tout simplement.

 

Mais, de façon globale, la longueur et la construction des phrases, ça varie.

Tout le temps.

Suivant ce que l'on a à dire.

D'un livre à l'autre.

D'un chapitre à l'autre.

D'un paragraphe à l'autre...

 

Dans le même livre, le style varie suivant les temps forts de la narration.

Je trouve donc logique de penser que, a fortiori, le style a d'autant plus de chances de varier d'un livre à l'autre, surtout si l'univers de référence change (si l'on passe du médiéval à la SF, il est normal qu'il y ait des modifications d'ambiance...)

Mais l'univers ne fait pas tout.

La Quête et Nihil, c'est le même monde.

Il n'y a que quelques siècles d'écart, mais ça ne change rien : technologiquement, c'est exactement le même monde.

Le même monde, donc, mais pas la même histoire.

Pas la même finalité.

Pas les mêmes enjeux (je ne veux pas faire passer la même chose au lecteur).

Nihil, c'est la vie d'un homme. Avec ses rêves, ses espoirs, ses déceptions...

LA Quête, c'est une histoire, une intrigue. Les personnages sont tous traités dans leur dimension psychologique, mais le rendu n'est pas du tout le même, parce que la finalité n'est pas du tout la même.

Je dis ça alors que Nihil n'est pas terminé... ^^

J'espère que j'aurai le niveau suffisant pour le faire comme je l'ai dans ma tête...

Je compte sur les conseils avisé de Shinro-sama pour m'aider dans ma Quête !

 

Vos avis, les choix que vous faites en écrivant, vos conceptions de la Littérature, ou de l'Ecriture m'intéressent, et je l'espère, intéresseront les courageux qui ont eu la curiosité intellectuelle de lire cet article jusqu'au bout.

Vous pouvez laisser toutes vos impressions, votre vécu (en rapport avec le sujet, bien sûr^^) en commentaire, sous cet article.

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25 décembre 2009 5 25 /12 /décembre /2009 18:48
Sujet qui fait régulièrement polémique au fil des discussions...
Un "gros mot" a-t-il sa place dans un livre...?
Je vous laisse poster vos commentaire.
Essayez d'argumenter, s'il vous plait. "Oui."   "Non", ça n'aide pas vraiment à avancer.
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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 23:09
Est-on (suis-je) anticonformiste par principe, de façon consciente, ou bien de façon ponctuelle...?
       
Etre anticonformiste de façon conscientisée, ce serait une sorte de revendication. 
Ce serait comme revendiquer le droit de ne pas se conformer à la Norme.
Est-ce un but en soi, ou un moyen d'expression?
         
Se battre contre la norme, faire quelque chose de volontairement non conforme à cette même norme...
Cet anticonformisme existe, d'un certain point de vue.
Picasso pourrait illustrer ce point de vue. 
Il a montré que la peinture peut ne pas se conformer au réel, ou aux conventions.
Il incarne une sorte de rupture avec ce qui se faisait avant, une rupture avec les choix esthétiques des gens de son temps, même si sa motivation était d'ordre artistique, et non revendicative, je pense.
Baudelaire a fait de même avec les "Fleurs du Mal."
Socrate aussi, en son temps.
        
Est-ce que c'est ce que je souhaite faire...?
M'opposer à la norme?
Ayant pour seul but de la refuser, de la nier ?
Non. Je ne pense pas.
Je respecte (dans le sens où je les applique) les codes de l'écriture, la syntaxe (en général), l'orthographe...
Je respecte la construction logique d'un récit, les codes propres au discours...
Les concordances des temps, même si j'ai fait une petite expérimentation stylistique à ce sujet dans l'un des textes (voir les commentaires de Chloé ^^)
       
Anticonformisme...
Ce terme est peut être un peu fort...
En réalité, je ne suis pas "Anti-conformiste" par nature.
La norme a une raison d'être : elle doit être appliquée pour mieux être détournée.
Elle est une sorte de jouet, et non un objectif.
Je n'ai pas pour objectif de refuser la norme.
Mais je n'ai pas non plus pour objectif de m'y plier, de rentrer dans le moule.
Je veux expérimenter.
Oser les vulgarités si je les juge nécessaires (là encore, on a eu de longues discussions avec Chloé ^^).
Oser détourner les codes.
Faire des allusions à d'autres auteurs, faire des références mythologiques, que je vais complètement détourner par la suite.
         
Faire perdre un Dieu aux échecs...
Choisir un héros qui ne sait rien.
Qui ne comprend rien.
Le rendre dépressif.
Suicidaire.
Le torturer mentalement, ou physiquement.
Ou les deux.
Oser un monde de fou.
Oser plonger le lecteur dans un monde auquel il ne comprend rien, ou si peu.
       
Refuser la description inutile.
Faire des phrases simples, tranchantes, expéditives.
Ou plus construites, suivant les cas.
     
Oser le texte/mot.
    
Jouer avec les mots.
Jouer avec les codes.
Et avec le lecteur.

Comme je le disais dans le premier article, la norme ne me dérange pas.
Je la suis tant que je suis d'accord avec elle.
Quand elle ne convient pas à ce que je souhaite faire...
Je l'ignore.
Je ne la combats pas.
       
S'acharner à combattre une norme, en agissant à l'inverse de ce qu'elle préconise reviendrait à se créer une nouvelle norme : celle d'être anticonformiste.
    
Etre anticonformiste, en fin de compte, c'est être aussi intégriste qu'être conformiste.
Je préfère donc employer le terme "d'expérimental" pour qualifier mes écrits, et vais de ce pas changer mes signatures dans les forums. ^^
       
Merci d'avoir lu jusqu'au bout le seul article sérieux de ce blog, ça fait plaisir ^^
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6 septembre 2009 7 06 /09 /septembre /2009 13:05

La littérature "anticonformiste"... qu'est-ce que c'est? 

Le nom est assez parlant, je trouve: on ne se plie pas aux normes, si l'on juge que les normes ne conviennent pas à ce que l'on veut faire. C'est en quelque sorte de l'anarchie littéraire structurée.

           

A mon sens, c'est le style qui doit se plier à l'oeuvre et non l'inverse.

 

                                     

Il y a plusieurs façons d'être anticonformiste: 


- dans le sujet (le fond) que l'on a choisi de traiter. (J'ai écrit sur le thème du néant, pour un pote... c'est déjà à la base assez space, non? Surtout quand on l'aborde d'un point de vue littéraire, et non scienctifique. Il m'arrive aussi d'écrire sur la folie, enfin, rien que des choses normales, quoi. ^^)


- dans la forme (mise en page, choix lexicaux, syntaxe...) :

Par exemple, il m'arrive de faire des textes de 3 lignes, qui font entre 2 et 5 mots chacune...

Je n'hésite pas à employer des mots "vulgaires" (éthimologique, en latin, ça voulait dire commun, populaire... Ce qui est toujours le cas, dans l'absolu : on oppose souvent le langage de la rue à celui de Molière.) J'ai eu à faire évoluer, pour le projet NEED, un voyou, chef de bande, dans un monde cyber-punk... Je suis désolé, mais si je choisis de le faire parler comme Molière, il perd toute consistance, et n'a plus rien à voir...Il est naturel, branleur, et lache des insultes régulièrement, parle en sautant les doubles négations, et emploie généralement un vocabulaire que l'on pourrait qualifier de "cru".

                     

Imaginez le film "La haine" en langue du XVIIIème, ou le  Guernica de Picasso peint à l'aquarelle, façon impressionniste... ou Renaissance... Choquant, non?

Et bien, c'est ce que l'on fait quand on cherche à enfermer un livre dans une norme littéraire.

                   

                        

Après plus de 500 pages de prose, ce qui en soi ne signifie pas grand chose, hormis le fait que j'ai eu le temps d'y réfléchir... je suis arrivé à la conclusion que c'est la situation (lieu, époque, personnages présents, sentiments des personnages... etc) qui dicte le style à utiliser pour rendre le meilleur effet. J'adapte mon style à la situation que je décris, je cherche le meilleur moyen de l'aborder (qui raconte, à qui, pourquoi? Est-on dans l'action, nous est-elle contée, le narrateur est-il un personnage de l'histoire, ou un regard extérieur? Pour ceux qui auraient un peu oublié tout ça, revoyez vos cours de français de 4ème, il devrait y avoir des choses dans le genre ^^ )

                    

Que vous soyez d'accord ou non, laissez vos commentaires, ou venez sur le forum anticonformiste, ça sera intéressant !

Si vous avez d'autres façons d'être anticonformiste, faites-le savoir!

                      

Attention ! Anticonformisme ne rime pas forcément avec "grand n'importe quoi"...

Mais là, j'avoue, la limite entre les deux dépend des repères que l'on a construit dans son enfance et sa jeunesse et de l'ouverture d'esprit de chacun.

                          

Merci d'avoir lu jusqu'au bout.

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